CHAQUE JOUR, ILS AGISSENT À VOS CÔTÉS

• 46 parcs d’activité raccordés
• 1180 entreprises raccordées au réseau public de la fibre
• 225 bornes WiTM (Wifi gratuite) déployées sur toute la métropole

Vous avez travaillé 10 ans dans le privé avant de rejoindre l’agence en mai 2018. Qu’est ce qui a motivé votre décision ?

En entreprise, je m’occupais seulement de la mise en place et la gestion des chantiers. Aujourd’hui, je gère la globalité des projets : de la conception-étude avec une réflexion sur l’optimisation des financements, jusqu’au raccordement. En intégrant la Métropole, j’ai eu la chance d’évoluer, de monter en grade, dans un milieu d’hommes après avoir passé 10 ans à faire mes preuves sur le terrain. Ce poste était une belle opportunité. Avant, je m’occupais de l’éclairage public et des feux tricolores. Aujourd’hui, planifie et organise le déploiement de la fibre en vue d’unifier le système d’information de la Métropole.

En quoi travailler sur la mise en place de la fibre vous plait-il ?

C’est l’avenir ! Mon travail de raccordement de la fibre optique permet aux agents métropolitains de disposer en tout point de la métropole du même outil informatique. En ce moment, nous travaillons à raccorder les points de captage et les châteaux d’eau en fibre optique afin de les équiper de caméras de vidéosurveillance. C’est passionnant de poser les premières pierres d’une Métropole 4.0, c’est à dire d’une Métropole qui utilise les nouvelles technologies de l’information pour détecter les problèmes de gestion de la ville avant même que les habitants ne s’en rendent compte.

Vous l’avez dit, le génie civil est considéré comme un milieu d’hommes. Vous avez toujours voulu faire ce métier ?

Quand j’étais petite, je ne voulais pas devenir maîtresse ou infirmière comme les autres petites filles, je voulais construire des ponts. Et aujourd’hui, d’une certaine manière, je les construis sous terre ; des ponts numériques pour les différents services et les citoyens de la Métropole.
A l’école, j’étais passionnée par l’électricité et la mécanique. Après le bac, j’ai intégré une école d’ingénieur en génie-électrique, électronique et transport d’énergie. Et comme j’ai un fort caractère, je me sens très bien dans un milieu encore très masculin !

En chiffres