CHAQUE JOUR, ILS AGISSENT À VOS CÔTÉS

• 40 agents travaillent dans le service voirie métropolitaine dont 30 agents à l’exploitation.
• Environ 800 interventions chaque année dont 200 sur accidents

En quoi consiste votre métier ?

Les missions de base sont le balisage et les interventions sur les 2x2 voies, l’entretien (fauchage, réparation de signalisation), le ramassage des détritus, la récupération d’objets sur les voies, etc. Il y a plein de fonctions diverses et variées. J’aime ce métier parce qu’il consiste à sécuriser les routes pour faciliter la circulation des automobilistes.

Vous avez toujours occupé ce poste d’agent routier ?

Non, je suis arrivé dans le service en novembre 2009. Avant, j’étais sur la route, j'étais chauffeur routier. Aujourd’hui, je l’entretiens ! J’ai des horaires plus adaptés à ma vie personnelle et mon engagement de sapeur-pompier volontaire. Mais quand je suis d’astreinte, je peux être amené à intervenir à n’importe quel moment après la journée de travail.

Comment est née cette vocation pour la sécurité des personnes ?

J’ai d’abord été réserviste en gendarmerie avant de devoir abandonner la réserve pour cause de limite d’âge. Puis j’ai intégré les pompiers volontaires, une semaine, toutes les trois semaines, de la débauche à 4 heures du matin. La flexibilité est importante. Mais ma priorité, c’est quand même mon travail. Connaître le rôle que doivent jouer les pompiers sur le lieu d’un accident est un atout dans mon métier. Et vice-versa.

Cumuler les deux est vraiment possible ?

Oui, et ça se passe très bien. Des conventions sont signées entre les deux structures, entre la Métropole et le SDIS, pour permettre aux volontaires de suivre des formations. Elles sont prises en charge par la collectivité.

En chiffres